La First Lady n'accompagnera pas son époux lors de ses prochaines visites officielles. De quoi attiser les rumeurs de tempête autour du couple de la Maison-Blanche.
Une fois de plus, Melania Trump semble fuir son mari. La première dame des États-Unis n'accompagnera pas son époux au sommet du G7 au Canada, en fin de semaine, ni à celui de Singapour avec le leader nord-coréen Kim Jong-un, le 12 juin, a indiqué sa porte-parole dimanche.
«Elle n'assistera pas au G7 et il n'y a pas de projet à ce stade pour qu'elle se rende à Singapour», a déclaré ce dimanche la porte-parole Stephanie Grisham.
Une dernière apparition publique le 10 mai
La dernière apparition publique de la «First Lady» remonte au 10 mai, lorsqu'elle avait accompagné Donald Trump pour accueillir d'anciens prisonniers américains tout juste libérés par la Corée du Nord.
Elle a depuis subi une intervention chirurgicale pour un problème «bénin» au rein à l'hôpital militaire de Walter Reed à Bethesda (Maryland), dans la proche banlieue de Washington. Elle y a été admise le 14 mai et y est restée cinq jours.
Un tweet pour démentir les rumeurs
Depuis, le peu d'informations données par la Maison-Blanche a nourri les rumeurs sur un potentiel éloignement du président Donald Trump. Des rumeurs qu'elle a tenu à démentir elle-même : «Je vois que les médias font des heures supplémentaires et spéculent sur où je me trouve et ce que je fais. Soyez rassurés, je suis ici à la Maison-Blanche avec ma famille, je me sens très bien et je travaille dur pour les enfants et le peuple américains !», a-t-elle tweeté mercredi.
Les douze temps forts de Melania Trump à la Maison-Blanche
La séquence a fait le tour du monde. Alors que Donald Trump se retourne pour adresser quelques mots à sa femme, celle-ci perd son sourire sitôt son intervention terminée. Quand certains internautes attribuent ce changement d'humeur au discours solennel du révérend Franklin Graham, une vidéo de la scène révèle que le président... réprimandait en réalité son fils Barron, 11 ans. (Washington, le 20 janvier 2017.)
Photo Abaca
Lancés dans une valse gauche rythmée par la mélodie de My Way, de Frank Sinatra, Donald et Melania Trump ont essuyé les critiques des internautes. Ces derniers leur ont reproché leur manque d'adresse et de préparation à cette danse. Tout en soulignant, au passage, le talent du vice-président Mike Pence et de sa femme venus les rejoindre sur la piste. (Washington, le 20 janvier 2017.)
Photo Abaca
En pleine crise diplomatique entre Washington et Mexico, la couverture de l'édition mexicaine de Vanity Fair passe mal. On y voit la première dame, attablée devant une assiette de bijoux, enrouler un collier autour de sa fourchette. Le tout, au moment même où Donald Trump clame haut et fort son intention de construire un mur à la frontière entre le Mexique et les États-Unis. Un choix "humiliant" et "de mauvais goût", selon les internautes. (Le 26 janvier 2017.)
Photo Vanity Fair Mexico
L'épouse de Donald Trump a été immortalisée dans les appartements privés du président, à la Maison-Blanche, devant l'une des célèbres fenêtres. «Je suis honorée de servir comme première dame et je suis impatiente de travailler au nom du peuple américain dans les prochaines années», a assuré Melania Trump. Mais, depuis, les parodies de son portrait officiel se sont multipliées sur le Web. En cause : son esthétique trop années 1980, et ses retouches évidentes. Un véritable bad buzz. (Washington, le 3 avril 2017.)
Photo AFP Forum