Politiciens, immigrés, musulmans, handicapés, et bien sûr les femmes... Le candidat à la primaire républicaine aux États-Unis n'épargne personne, et choque même au sein de son propre camp. Lancé dans les primaires à la présidentielle américaine qui commencent ce lundi 1 février dans l'Iowa, Donald Trump dispose pourtant pas de soutiens féminins. Tour d’horizon de celles qui gravitent autour du bien nommé « dinosaure sexiste déchaîné ».
Ivana Trump. Elle est la première femme de Donald Trump. Ils se marient en 1977, et règnent sur la jet-set américaine pendant quinze ans. En 1992, la liaison du magnat de l’immobilier avec Marla Maples a raison de leur union, et le couple divorce. (New York, 1er janvier 1988.)
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Lors de leur séparation, elle accuse son ex-mari de viol avant de revenir sur cette affirmation en parlant d’une expérience où elle s’est simplement sentie « blessée ». Aujourd’hui, elle déclare à son propos à Pagesix : « Je pense qu’il peut gagner (l'élection présidentielle, NDLR). Il dirigerait le pays comme une entreprise, pas comme l'imbécile que l'on voit aujourd'hui, qui n’arrive pas à prendre une décision et qui ne connaît rien sur rien ». (New York, 15 septembre 2015.)
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Ivanka Trump. De cette union naît Ivanka en 1981. Elle grandit dans le bling-bling des socialites de la Grosse Pomme. (New York, 3 septembre 1991.)
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Aujourd'hui, elle est vice-présidente du groupe de son père, The Trump Organization, et fait office d’atout dans la course à la présidentielle. Donald Trump ne manque pas une occasion de la discréditer en vantant sa plastique. Dans Playboy, il a déclaré à son propos : « Si Ivanka n’était pas ma fille, il se pourrait bien que je sorte avec elle. » Et a réitéré dans le magazine Rolling Stones.« Elle a vraiment quelque chose. Quelle beauté, celle-là. Si je n'étais pas marié, enfin son père… » (Floride, 5 mars 2015.)
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