Interviewée par Vogue Paris, la muse de Salvador Dali a comme lâché une minibombe concernant la libido du président américain, Donald Trump.
Deuxième volet (de trop ?) dans la saga sur la vie sexuelle de Donald Trump. Après avoir appris, via une source indiscrète interrogée par US Weekly, que le nouveau couple présidentiel faisait «chambre à part», voilà qu'Amanda Lear met un peu de piment dans la vie intime de Donald, dans l'édition d'avril du magazine Vogue Paris.
"Il mettait mon premier CD..."
Cela commençait pourtant très correctement, Amanda Lear exposant les défauts et les qualités de M. Trump : «Il me fait rire. Il est grossier, mal élevé, on peut lui reprocher tout un tas de choses, mais il est intelligent : pour réussir à ce point dans le business, il faut l’être.»
Sauf que. Jadis BFF d'Ivana Trump, l'icône française des années 1970 a pensé à deux, trois anecdotes à raconter. Par exemple : «Ivana voulait que j’expose mes tableaux chez Donald en Floride, à Mar-a-Lago. J’ai dit : "Je ne vais pas exposer chez ce plouc". Je regrette maintenant».
Et enfin : «L’autre chose amusante que m’a confiée Ivana, c’est que quand elle était avec Donald, chaque fois qu’il voulait faire l’amour avec elle, il mettait mon premier CD, Follow Me… Ça l’excitait. Il ne pouvait tirer Ivana qu’en écoutant Amanda !», a-t-elle lâché, sans filtre. «Learique», oui.
Les moments gênants des stars pendant des scènes torrides
Les Noces rebelles, de Sam Mendes (2008.)«Elle était très inquiète que Sam soit gêné par le fait que sa femme fasse l'amour avec un autre homme que lui (Kate Winslet est, à l'époque, l'épouse du réalisateur, NDLR). Je la rassurais en lui disant qu'il ne s'agissait que d'un rôle, mais elle n'arrêtait pas de dire, "c'est vraiment bizarre"», confiait Leonardo DiCaprio au magazine australien Sydney Morning Herald.
Photo AP
Blue Valentine, de Derek Cianfrance (2010.) «J'ai été très choquée», a révélé l'actrice dans une interview à Reuters, au moment où elle a découvert qu'elle devait jouer une scène de sexe oral. (Hollywood, 14 janvier 2011.)
Photo Abaca
Cinquante nuances de Grey, de Sam Taylor-Johnson (2011.) Dans un entretien accordé à Interview Magazine, Dakota Johnsona avoué que ce ne sont pas des scènes «qui mettent à l'aise. C'est même assez pénible». Rajoutant qu'elle a dû «simuler un rapport sexuel pendant sept heures d'affilée».
Photo AFP
Love, et autres drogues, d'Edward Zwick (2010.)«C'est naturellement gênant d'avoir de fausses relations sexuelles avec une personne», livrait Jake Gyllenhaal à HollywoodLife.com. «Alors pour la rassurer (Anne Hathaway, NDLR) et l'aider à se détendre, je lui demandais "Où veux-tu que j'aille ? Que veux-tu que je fasse ? Qu'est-ce que tu te sens à l'aise de faire ?" Et Anne me répondait "Fais ce que tu as à faire et je fais ce que j'ai à faire. Je vais me débrouiller !»
Photo AFP"Melanianade", la parodie de "Lemonade" inspirée par Donald Trump
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